6 days ago
« On a découvert la ponette de ma fille couverte de sang » : près du Havre, quatre chevaux mutilés
« C'est un cauchemar. Il faut que ça s'arrête. On ne peut pas supporter ces scènes d'horreur et vivre avec la peur au ventre comme ça, tous les matins… ». Dans la campagne d'Angerville-l'Orcher, comme perdue au milieu de son centre équestre, Karine Novick, 48 ans, propriétaire de l'Élevage du Loir, est en larmes. Elle vient de découvrir pour la seconde fois en quelques semaines un de
ses chevaux sauvagement mutilés
.
« Le 7 mai au matin, on a trouvé une de nos ponettes avec un œil tailladé, raconte-t-elle, effondrée. On a d'abord pensé qu'elle avait pu se blesser. Mais elle souffrait tellement qu'on a dû lui faire enlever l'œil. Et on a commencé à penser que ça ne pouvait pas être accidentel. »